Château de Bouges à une trentaine de km de Valençay. Quelle richesse en châteaux dans cette région! On ne le sait pas assez.
Concert décentralisé dans un décor de rêve : château du XVIIIè, superbes stalles d'écuries, magnifiques jardins où j'ai pu me promener dans la douceur de ce dernier soir de printemps en attendant que commence le concert "décentralisé" de Jean-Paul GASPARIAN dans l'orangerie du Château.
Belle idée que ces concerts pour amener pour un prix modique des auditoires néophytes à la musique romantique par les jeunes interprètes du Festival!
Bref, revenons au jeune GASPARIAN dont je vous disais qu'il avait été en début de semaine en finale du prestigieux Concours Geza Anda en Suisse.
Eh bien, ils devaient être sacrément fortiches les TYSON, SHAIKIN et ROLIM qui l'ont devancé car le récital qu'il nous a offert était simplement prodigieux (malgré les quelques imperfections mécaniques du piano local)! J'ai bien aimé sa 2è Sonate de Schumann où il s'est joué des difficultés techniques et les Debussy de ses bis (l'Isle joyeuse en particulier).
J'irai le réécouter dimanche matin à Nohant sur le piano du Festival et dans l'acoustique de la bergerie.
On m'a indiqué qu'entre temps, il sera allé, dans le cadre de l'ouverture du Festival sur l'extérieur, vers les enfants et les jeunes musiciens, rencontrer les élèves du Conservatoire de Saint-Amand-Montrond et partager avec eux quelques moments qui resteront gravés dans leur mémoire, ce d'autant plus qu'ils seront conviés à son concert du dimanche matin.
Concert décentralisé dans un décor de rêve : château du XVIIIè, superbes stalles d'écuries, magnifiques jardins où j'ai pu me promener dans la douceur de ce dernier soir de printemps en attendant que commence le concert "décentralisé" de Jean-Paul GASPARIAN dans l'orangerie du Château.
Belle idée que ces concerts pour amener pour un prix modique des auditoires néophytes à la musique romantique par les jeunes interprètes du Festival!
Bref, revenons au jeune GASPARIAN dont je vous disais qu'il avait été en début de semaine en finale du prestigieux Concours Geza Anda en Suisse.
Eh bien, ils devaient être sacrément fortiches les TYSON, SHAIKIN et ROLIM qui l'ont devancé car le récital qu'il nous a offert était simplement prodigieux (malgré les quelques imperfections mécaniques du piano local)! J'ai bien aimé sa 2è Sonate de Schumann où il s'est joué des difficultés techniques et les Debussy de ses bis (l'Isle joyeuse en particulier).
J'irai le réécouter dimanche matin à Nohant sur le piano du Festival et dans l'acoustique de la bergerie.
On m'a indiqué qu'entre temps, il sera allé, dans le cadre de l'ouverture du Festival sur l'extérieur, vers les enfants et les jeunes musiciens, rencontrer les élèves du Conservatoire de Saint-Amand-Montrond et partager avec eux quelques moments qui resteront gravés dans leur mémoire, ce d'autant plus qu'ils seront conviés à son concert du dimanche matin.